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Les 10 compétences d’un bon correcteur professionnel

Dernière mise à jour : 24 juin

Quelles sont les qualités d’un correcteur professionnel ? C’est la question que nous nous posons aujourd’hui. Privilégiez toujours les services de professionnels pour faire relire et corriger votre manuscrit, qu’il s’agisse d’un roman, d’un article de presse, d’un document administratif, d’une thèse ou d’un mémoire universitaire.

1. Une maîtrise parfaite de la langue française


Un bon correcteur doit parfaitement maîtriser les règles de la langue française, autrement dit la grammaire, l’orthographe, la conjugaison et la syntaxe. Il doit avoir un œil aiguisé pour repérer les fautes dans votre texte dès la première relecture.


L’avantage de la correction professionnelle par rapport à un correcteur automatique (Antidote ou le logiciel de correction de votre traitement de texte) ou à votre tante Jacqueline est que vous allez profiter de compétences professionnelles avérées pour la correction de textes.


Un bon correcteur professionnel peut vous présenter son travail sous forme de portfolio, ou bien avoir suivi une formation professionnelle avec, à la clé, une certification attestant ses aptitudes. La plupart des correcteurs professionnels passent également le certificat Voltaire, une bonne référence si vous souhaitez vérifier leur expertise.


Gagnez du temps en passant par un service de correction professionnelle comme celui de Vscript. Nous sélectionnons des correcteurs et correctrices professionnelles dont le cœur de métier est la relecture et la correction. Ainsi, vous n’avez pas de sélection à faire ! Confiez-nous votre texte et récupérez-le corrigé, sans fautes d’orthographe, ni erreurs grammaticales ou autres coquilles.


2. De la patience


En tant que professionnel de la correction, le correcteur peut travailler aussi bien sur quelques lignes que sur un roman entier de 600 pages. Sa patience est mise à l’épreuve ! Il lui faudra se montrer minutieux, rigoureux et prêter attention aux détails.


La patience s’acquiert et se renforce avec l’expérience. Plus un correcteur corrige, plus il est habitué à passer du temps sur un texte. Si vous voulez reconnaître un correcteur professionnel efficace, testez sa patience (mais pas trop non plus…).


L’astuce pour développer ses compétences de correcteur : laisser reposer le texte après la première phase de correction. Pour atteindre le sans-faute, il faut savoir prendre du recul pour « oublier » le texte, les mots, et y revenir plus tard. Parfois, vous remarquerez des fautes que vous n’aviez pas vues lors de la première lecture. Attendez quelques jours avant de remettre le texte corrigé à votre client : prenez le temps de le relire.


3. L’empathie et le respect de la voix de l’auteur


Le correcteur corrige, certes, mais il peut aussi proposer des pistes d’amélioration et de restructuration quand cela est nécessaire. Le but est de permettre aux lecteurs de mieux comprendre le texte et d’en apprécier la lecture.


Cependant, le bon correcteur professionnel sait faire la différence entre la correction et la réécriture. Son rôle n’est pas de changer le style d’écriture de l’auteur, mais de l’aider à l’améliorer pour que son texte soit lisible, compréhensible et agréable à lire, autant sur le fond que sur la forme.


Développer son empathie est une bonne piste pour devenir correcteur professionnel. Cette compétence essentielle permet de mieux saisir les intentions de l’auteur derrière le texte original et de ne pas altérer le ton ni la voix.


Autrement dit, il faut savoir perdre sa rigidité face à quelques tournures qui vous paraissent alambiquées, ou face à une syntaxe parfois douteuse. Le mieux est d’en parler avec l’auteur et de suggérer des corrections plutôt que de les imposer.


Cela nous amène à une autre aptitude du correcteur : savoir proposer des pistes d’amélioration et ne pas imposer des corrections (sauf en cas de fautes indéniables, par exemple des fautes d’orthographe).


4. Être à l’écoute de l’auteur


Une bonne communication et des capacités d’écoute sont nécessaires pour réaliser un travail de correction juste par rapport aux besoins de l’auteur. Avant de lui transmettre votre texte, prenez le temps de discuter avec le correcteur professionnel.


Voyez s’il vous écoute, s’il vous pose des questions. Un échange, écrit ou oral, permet de communiquer sur vos exigences, vos attentes et d’orienter le travail de relecture et de correction.

Passer par une agence comme Vscript, spécialisée dans la mise en relation avec des correctrices et correcteurs professionnels, vous épargnera bien du souci. Vous serez certain d’avoir affaire à des experts de la correction, de la relecture attentive et de la reformulation.


5. Une solide culture générale


Cultiver ses connaissances dans différents domaines peut aider à améliorer ses compétences de correcteur. Une bonne culture générale aide à mieux comprendre le sens des textes, surtout s’ils sont spécifiques ou complexes comme les écrits scientifiques ; cela permet en outre de mieux détecter les incohérences ou les erreurs factuelles.


En tant qu’éditeur ou auteur, vous pouvez choisir une correctrice ou un correcteur professionnel qui est spécialisé dans le domaine de votre écrit. Si vous avez écrit un roman de science-fiction, par exemple, vous privilégierez des correcteurs qui :


  • aiment la littérature de science-fiction et ont acquis au fil de leurs lectures une solide connaissance des codes du genre, ce qui leur permet de facilement comprendre le texte et ses subtilités ;

  • ont de l’expérience dans la correction professionnelle de ce type de genre littéraire ;

  • possèdent des connaissances générales solides sur ce genre ;

  • ou sont expérimentés dans la correction et la relecture de textes variés (ils peuvent donc rapidement s’adapter).


La culture générale permet d’aborder les textes plus sereinement. Se tenir informé des nouveautés en matière de vocabulaire ou de règles de typographie, de mise en pages, de grammaire ou de toute autre évolution de la langue française est également nécessaire pour rester à la page en tant que correcteur.


6. Une aptitude à la reformulation et à la réécriture


Un bon correcteur professionnel possède des qualités rédactionnelles. Il sait s’exprimer à l’oral comme à l’écrit. Lors d’un échange par e-mail, vous pouvez vite voir si le correcteur présente les compétences et aptitudes nécessaires.


De même, le correcteur professionnel doit être capable de reformuler des phrases complexes, de simplifier le vocabulaire ou de clarifier les idées quand cela s’avère nécessaire. Son rôle est d’améliorer la lisibilité du texte sans en altérer le sens ou le message.


7. Un esprit d’analyse et de synthèse


Votre correcteur professionnel ne vous fait pas perdre de temps, au contraire. Il sait analyser vos attentes, la situation, et vous propose une correction approfondie qui ne nécessitera pas de nouvelle relecture de votre part. Le but est de permettre une publication du texte quasi immédiate après sa correction.


Pour être efficace, le correcteur doit travailler son esprit d’analyse et de synthèse afin de comprendre la structure des manuscrits et les messages véhiculés. Son objectif est aussi de ne pas perdre du temps, surtout quand les délais des maisons d’édition sont serrés.


8. Un sens du style et de la cohérence


L’incohérence peut tuer un texte, quel qu’il soit (roman, thèse…). Un bon correcteur professionnel doit être obsédé par la cohérence. Son rôle premier est certes de traquer et de corriger les coquilles ou de reprendre les maladresses, mais il propose également une relecture approfondie.

Les incohérences peuvent entacher la fluidité, la lisibilité et la précision du texte. Votre correcteur professionnel devra repérer les lourdeurs et s’assurer que la qualité stylistique demeure, ce qui inclut la correction des répétitions ou des phrases maladroites.


Chez Vscript, vous avez le choix entre deux types de corrections :

  1. La correction simple (orthographe, grammaire, syntaxe et typographie) ;

  2. La relecture approfondie (restructuration et reformulation de phrases).


Ainsi, vous bénéficiez d’un travail de correction professionnelle complet.


Remarque : le correcteur professionnel n’est pas un bêta-lecteur. Ce dernier est un lecteur, professionnel ou non, qui donne son avis subjectif sur le texte après l’avoir lu. Il ne propose aucune correction stylistique ou autre type de correction. Lisez notre article de blog pour savoir qui choisir entre un bêta-lecteur et un correcteur professionnel.


9. Aimer l’humain


La correction professionnelle est un travail éminemment humain. Un texte est toujours une production personnelle. Même une lettre de motivation a son importance pour son auteur. Il convient de respecter cela.


Privilégiez des correcteurs humains, à votre écoute, qui savent communiquer avec vous. Les passionnés vous accompagneront pendant tout le processus de correction du texte et vous expliqueront leurs choix et leurs suggestions.


Une autre compétence du correcteur professionnel : la pédagogie.


10. Le respect des délais et des consignes


Le correcteur doit respecter les délais fixés par l’éditeur ou l’auteur et suivre les consignes données en amont. Sa ponctualité ainsi que sa capacité à répondre rapidement aux demandes vous permettront de situer son niveau de professionnalisme.


Soyez tolérant ! Parfois, le correcteur free-lance peut crouler sous le travail. Son délai de réponse s’allonge, et c’est normal. La patience et la tolérance sont de mise !


Faites corriger votre manuscrit par nos correctrices professionnelles Vscript !


Crédit photo : photo de Cookie the Pom sur Unsplash

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